Projet de recherche

Processus d’implantation et retombées d’un programme d’intervention visant à promouvoir la saine alimentation au cours de la grossesse et pendant les deux premières années de vie de l’enfant «1000 jours pour savourer la vie » : analyse des processus d’implantation et des retombées

Bernard-Simon Leclerc, Deena White (Fondation OLO, 2013-2020)

Présentation du projetProcessus d’implantation et retombées d’un programme d’intervention visant à promouvoir la saine alimentation au cours de la grossesse et pendant les deux premièresannées de vie de l’enfant«1000 jours pour savourer la vie » : analyse des processus d’implantation et des retombées.Bernard-Simon Leclerc,Deena White(Fondation OLO,2013-2018).La Fondation OLO procèdera au déploiement de son projet « 1 000 jours pour savourer la vie » dans tous les CSSS de la province au cours des prochains cinq ans (2013-2018). Le projet ajoute au programme « Œuf-lait-orange » classique un ensemble de mesures pour appuyer l’intervention du personnel concerné auprès des femmes enceintes en situation de vulnérabilité, des familles et des enfants, le développement de compétences parentales, l’acquisition par les familles d’attitudes et de comportements favorables àla saine alimentation au cours de la grossesse et pendant les deux premières années de vie de l’enfant. La Fondation OLO, conceptrice et promotrice du projet, a retenu les services de l’unité d’évaluation du centre InterActions pour prendre en charge l’évaluation. Le mandat de l’équipe d’évaluation, à titre de consultant externe, est de réaliser une évaluation provinciale des processus et des effets observables à court terme sur les comportements et les perceptions des bénéficiaires et des intervenants. L’évaluation de l’implantation sera réalisée selon un modèle d’évaluation de l’intégrité de la mise en œuvre et d’analyse de l’environnement organisationnel. L’évaluation permettra notamment de déterminer si la variation des effets dans certains milieux est attribuable à une implantation mitigée ou à d’autres facteurs. Le comportement alimentaire des participantes sera appréhendé à partir d’une perspective écologique, c’est-à-dire en tenant compte de nombreux déterminants de divers niveaux (individuel, social, environnemental, organisationnel).

Bernard-Simon Leclerc

Professeur, Département de médecine sociale et préventive, UdeM, Institut universitaire de gériatrie de Montréal

Deena White

Professeure, Département de sociologie, Université de Montréal